LES COMMANDOS DE CHARME, LES FEMMES TUTSIES DU RWANDA.
‘’Ce que femme veut, même Dieu le veut!”
Les « commandos de charme », cette arme silencieuse de destruction massive et plus efficace que la bombe atomique qui détruisit Hiroshima et Nagasaki, ne sont pas seulement efficaces pour détruire le leadership hutu, comme se ventent les stratèges tutsi, c’est un fléau mondial. De la Maison Blanche chez Clinton à Alex Kanyarengwe, le Hutu en passant par Berlusconi de l’Italie et Dominique Straus Kahn de la FMI, le « sexe » fait ravage !Avec l’affaire de sexe, la musicienne ivoirienne, Savan Alla, a vraiment raison quand elle chante : « les hommes n’ont rien dans le cœur, ils ont tout en bas ! »
Comme le rappelle l’article publié le dimanche 15 mai 2011 - Dernière modification : le mardi 17 mai 2011 Scandales sexuels en politique : des précédents, Par RFI / AFP, la liste des victimes du « sexe » est très longue.
Ainsi en plus des cas très populaires ci-haut, on peut encore ajouter notamment:
« …Gary Hart, grand espoir du parti démocrate américain, annonce officiellement en mai 1987 sa candidature à Maison Blanche. Mais quand le Miami Herald révèle qu'il a passé une nuit en compagnie d'un jeune mannequin, à l'insu de sa femme, il commence par nier, puis déclare que la vie privée des hommes politiques ne regarde personne. Le scandale est toutefois tel qu'il retire sa candidature et quand il revient dans la course sept mois plus tard, il finit bon dernier des sept candidats démocrates.
Le président israélien Moshé Katzav a démissionné en juin 2007 à la suite d'un scandale sexuel. Il a été reconnu le 30 décembre 2010 coupable de deux viols sur une de ses subordonnées à l'époque où il était ministre du Tourisme dans les années 1990. Il a en outre été reconnu coupable de deux « actes indécents », dont un avec usage de la force, et de harcèlement sexuel contre trois de ses employées au ministère du Tourisme puis à la présidence après son élection en 2000. Il a été condamné le 22 mars 2011 par un tribunal de Tel-Aviv à sept ans de prison ferme et deux ans de prison avec sursis. Il a interjeté appel contre ce jugement.
L'ancien président zimbabwéen Canaan Banana a été condamné à un an de prison en mai 2000 pour « sodomie et autres crimes sexuels » perpétrés à l'encontre de collaborateurs, alors qu'il était président de 1980 à 1987. Il a été libéré le 30 janvier 2001, sa peine ayant été écourtée.
L'ancien vice-Premier ministre malaisien, devenu chef de l'opposition, Anwar Ibrahim, risque une peine de 20 ans de prison s'il est reconnu coupable de sodomie à l'encontre d'un ex-conseiller en juin 2008. Une décision du juge est attendue le 16 mai.
L'actuel président sud-africain Jacob Zuma élu en mai 2009, a été acquitté du viol d'une jeune femme séropositive le 8 mai 2006. »
Oui, on vient de le voir, peu d’hommes peuvent résister au charme d’une belle femme car l’amour…c’est le plus beau cadeau que Dieu a offert à l’humanité. La Bible n’affirme-t-elle pas que « celui qui n’aime pas ne connait Dieu car Dieu est l’amour. » ?
Mais concernant le Rwanda, dont son peuple est probablement le plus raciste au monde, l’amour a cessé d’être l’expression divine pour devenir un « instrument satanique ». C’est une arme de destruction massive que la race tutsie (14% de la population) a su manipuler avec la plus grande habilité pour conquérir et asservir la race hutue (85% de la population) pendant des siècles.
Le mode opératoire et les dégâts de ces commandos de charme, filles Tutsies du Rwanda, sont résumés ici par le représentant spécial de l’ONU et chef de la MINUAR, le Dr Roger BOOB BOOB. Accusant son subalterne hiérarchique, le général canadien Roméo Dallaire, commandant de la force militaire de la MINUAR, d’avoir tombé dans l’ « embuscade » de ces commandos de charme rwandais et rappelant l’expérience vécue par Honoré Ngbanda, Chef des Renseignements zaïrois et conseil spécial du Maréchal Mobutu Ses-Seko, Boob Boob, à la page 135 et 136 de son livre LE PATRON DE DALLAIRE PARLE, Révélations sur les dérives d’un général de l’ONU au Rwanda, éd. DUBOIRIS, 2005, nous révèle :
« Je me méfiais dès lors d’autant plus de Dallaire, que les bruits et les tracts faisaient état d’une fille rwandaise qui vivait sous son toit :
‘On a également porté à l’intention de Luc et à la mienne que quelques officiers belges fraternisaient avec des femmes tutsies. (…) A mon avis, il ne peut ni ne doit exister de relations sexuelles entre des militaires (de force de maintien de la paix) et des femmes du pays pendant une guerre ou dans une zone de conflit.’ Si de telles informations ou ce qu’il qualifie lui-même de rumeurs pouvaient circuler à son égard (= Dallaire) et pas sur un autre responsable, c’est qu’il devait avoir un comportement qui s’y prêtait. Cela rappelle ces fameux ‘cadeaux’ (filles tutsies) dont parle Honoré Ngbanda dans son récent livre, à propos des ‘commandos de charme’ en RDC.
Pour bien comprendre le rôle des femmes tutsi dans la crise rwandaise, on peut s’arrêter un instant sur l’analyse que fait à ce sujet l’ancien ministre de la défense du président Mobutu, Honoré Ngbanda, qui a bien étudié ce problème parce que son pays en est devenu la victime.
Il (=Ngbanda) raconte :
‘Plus de la moitié des généraux était noyauté par des « hirondelles » rwandaises, ces jolies filles tutsi jetées dans leur lit des années durant par les stratèges rwandais, comme un commando de charme, pour recueillir au plus près, des renseignements stratégiques sur notre armée. La même stratégie fut utilisée par Museveni et Kagame lors de la guérilla de la NRA en Ouganda, comme nous le verrons bientôt. Ces ‘hirondelles’ opèrent encore aujourd’hui, au service du lobby tutsi, au sein des organismes internationaux, des gouvernements européens et des associations les plus puissantes dans ce monde. Très peu de gens connaissent réellement le degré de nuisance de ce commando de charme : ces amazones rwandaises du renseignement ! Si nous en parlons ici, c’est qu’aujourd’hui nous en sommes les victimes. A l’époque, nous avons peut être sous-estimé le rôle décisif de ces femmes tutsi dans le dispositif qui préparait la déstabilisation de notre pays.’
A l’appui de son propos, Honoré Ngbanda cite un député congolais qui déclarait en 1996 devant l’Assemblée Nationale de son pays :
‘ Les rwandais utilisent la stratégie de ce qu’ils appellent eux-mêmes les « cadeaux ». Ce qui veut dire qu’ils ont donné systématiquement aux autorités congolaises des filles tutsi comme deuxième et troisième « bureau » lisez « concubine » ou « copine ». La seule institution qui résiste c’est le Parlement. »
Ainsi donc, pour bien comprendre « le rôle des femmes tutsi dans la crise rwandaise » et surtout la descente aux enfers du Rwanda en général et de certains Hutu modérés en particulier, il faut retourner en arrière, très loin dans l’histoire biblique, et lire l’histoire de Samson et Délira : certains Hutu modérés étaient et sont l’incarnation de Samson et les commandos de charme tutsi, celle de Délira. Les Philistins d’abord et puis les Tutsi du Rwanda ensuite, qui seraient les descendants de Ham, ont depuis très longtemps su et compris la faiblesse « des hommes forts » en face des femmes ; et ils ont utilisé et utilisent toujours leurs filles voire leurs femmes à des fins politiques. C’est ce qu’Honoré Ngbanda appelle les « commandos de charme » qui sont, au Rwanda, multifonctionnelles: espions, escadrons de la mort, « politiciens » et diplomates selon les besoins stratégiques et tactiles du moment. Et ça… ça marche très efficacement.
Les rwandais ont l’habitude de dire ‘’agapfa kaaburiwe ni impongo’’, donc, »c’est l’ignorance qui tue».
DAVID NDOBA Veritasinfo