Génocide au Rwanda : Madame Ngulinzira engage une action en justice contre l’Etat belge !

Publié le par veritas

Florida Mukeshimana-Ngulinzira, la veuve de Boniface Ngulinzira, et le colonel belge Luc Marchal

Florida Mukeshimana-Ngulinzira, la veuve de Boniface Ngulinzira, et le colonel belge Luc Marchal

Le 11 avril 1994, plus de 2 000 Rwandais menacés qui avaient cru pouvoir trouver refuge dans l’enceinte de l'École technique officielle (ETO), à Kigali, étaient massacrés par des miliciens hutus. A partir du 2 mars, la cour d'appel de Bruxelles doit statuer sur la responsabilité de l'État belge, accusé de « non-assistance à personnes en danger », dans cet épisode tragique du génocide.
 
L’affaire du massacre de l’ETO est de retour devant la justice belge, 24 ans après les faits. Le procès civil, intenté par trois familles de rescapés rwandais déterminés à faire reconnaître la responsabilité de l’État et de trois officiers de l’armée belge accusés de crimes de guerre par omission d’agir, s’ouvre ce vendredi 2 mars devant la cour d’appel de Bruxelles.
Abandonnés à une mort certaine
11 avril 1994, à Kicukiro, dans le nord-est de Kigali. Les massacres ont démarré à travers le territoire dans la foulée de l’assassinat du président Juvénal Habyarimana, le 6 avril. Les Tutsis se savent visés, tout comme certains opposants hutus. Du 7 au 10 avril, plusieurs centaines de personnes se sont précipitées à l’École technique officielle (ETO) Don Bosco, tenue par des missionnaires, dans l’espoir d’y trouver refuge auprès des soldats belges de la Minuar, la mission de l’ONU chargée de veiller au respect de l’accord de paix signé en 1993.
 
Il est 13 heures passées, ce jour-là, lorsque les militaires belges reçoivent l’ordre de quitter l’ETO, évacuant au passage les expatriés présentsLes instructions émanent du colonel Luc Marchal, « numéro deux » de la mission onusienne, en accord avec le colonel Joseph Dewez, chef du contingent belge à Kigali. Luc Lemaire, qui commande les casques bleus présents à l’ETO, est sommé de les appliquer. 
 
Les quelques dizaines de parachutistes belges de la base grimpent alors dans des jeeps et quittent l’établissement, encerclé par des miliciens hutus armés de machettes, venus traquer les centaines de réfugiés. Abandonnés à une mort certaine entre les quatre murs de la cour de l’école, ils seront plus de 2 000 a être exécutés ce jour-là. Certains au sein même de l’établissement, d’autres sur la route de Nyanza alors qu’ils tentaient de s’enfuir.
Décision belge et non onusienne
 
Parmi les personnes venues se placer sous la protection de la Minuar se trouvaient Boniface Ngulinzira et sa famille. Ce dernier, ministre rwandais des Affaires étrangères entre avril 1992 et juillet 1993, avait été l’un des artisans de l’accord de paix d’Arusha, qui prévoyait notamment le rapatriement des exilés tutsis au Rwanda et l’intégration de l’opposition intérieure et du Front patriotique rwandais (FPR) dans les institutions d’État. Son rôle a fait de lui une cible prioritaire pour les extrémistes hutus. Le 11 avril 1994, il est froidement exécuté. Peu de réfugiés survivront au massacre.
 
Parmi les rescapés, Florida Mukeshimana-Ngulinzira, la veuve de Boniface Ngulinzira. En avril 2004, elle engage une action en justice pour faire reconnaître la responsabilité de l’État belge et des trois officiers Ayant répercuté l’ordre d’évacuation. La procédure entamée par la famille de l’ancien ministre est suivie d’une seconde, en 2007, à l’initiative de Marie-Agnès Umwali, qui, elle aussi, compte parmi les rares survivants.
 
Le 8 décembre 2010, le tribunal de première instance de Bruxelles rend son jugement. La prescription des faits, invoquée par les avocats de l’État belge, est rejetée. Et le jugement désavoue Bruxelles sur un point clé : « La décision d’évacuer l’ETO est une décision [qui a été] prise sous l’égide de la Belgique, et non de la Minuar », considèrent alors les juges, à l’inverse de ce que plaidait la défense.
Massacre dans le rétroviseur
 
Le 7 avril 1994, aux premières heures du génocide et au soir du massacre de dix parachutistes belges par des militaires hutus, les autorités belges avaient décidé de retirer leurs troupes engagées dans la Minuar et de replacer ce contingent sous le commandement de l’état-major belge. Les troupes reçoivent alors pour mission d’évacuer les ressortissants étrangers. L’événement de l’ETO révèle les conséquences concrètes de l’abandon de la communauté internationale.
 
Lorsqu’ils quittent l’ETO, les militaires belges prennent donc la direction de l’aéroport pour épauler l’opération Silver Back, en cours depuis le 10 avril, dont le but est d’évacuer les étrangers – principalement des Belges et des Français – présents au Rwanda. « Lorsqu’ils sont arrivés, ils étaient évidemment écœurés. Ils avaient vu les Hutus entrer dans l’école et commencer à massacrer dans les rétroviseurs de leurs jeeps », raconte Jean-Loup Denblyden, lieutenant-colonel membre de l’état-major de l’opération Silver Back, présent à l’aéroport au moment des événements. 
 
Conscients du risque qu’ils encouraient, certains réfugiés de l’école s’étaient couchés devant les véhicules pour tenter d’empêcher le départ de leurs protecteurs. « L’événement de l’ETO révèle les conséquences concrètes de l’abandon de la communauté internationale, puisque les gens qui sont venus se réfugier dans l’école l’ont fait parce que des contingents de l’ONU y stationnaient. Ils ont placé leur confiance en eux et ont été trahis », explique Helène Dumas, historienne spécialiste du Rwanda, chargée de recherche au CNRS.
Jurisprudence néerlandaise
 
Le rôle immédiat joué par l’évacuation de l’ETO sur les massacres de réfugiés est démontré
Lors du jugement en première instance, la justice belge avait estimé que « les défendeurs ne pouvaient nourrir aucune illusion quant au sort qui attendait les réfugiés après le départ des casques bleus belges ». « Le rôle immédiat joué par l’évacuation de l’ETO sur les massacres de réfugiés est dès lors démontré », avait établi le tribunal. « Nous avions des éléments solides qui permettaient de dire que l’ordre venait de la Belgique », explique aujourd’hui Me Philippe Lardinois, l’un des avocats de Marie-Agnès Umwali.
 
Le jugement en appel, qui devait initialement avoir lieu en 2014, a été repoussé à plusieurs reprises. Entre temps, une autre affaire – concernant l’ex-Yougaslavie, cette fois – a connu un dénouement qui pourrait peser dans la balance. Le 27 juin 2017, l’État néerlandais a en effet été reconnu pour partie responsable de la mort de 350 musulmans qui avaient été expulsés d’une base néerlandaise sous protection de l’ONU, dont les environs avaient été conquis par les troupes bosno-serbes, en 1995 dans le secteur de Srebrenica. « Nous espérons que cette affaire fera jurisprudence », glisse Me Lardinois.
 
Les parties civiles seront les premières à s’exprimer, ce vendredi, devant la cour d’appel de Bruxelles, avant que la défense ne délivre sa plaidoirie la semaine suivante. Depuis le premier jugement, l’officier Luc Lemaire est décédé.
 
Source : J.A
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U
ndabasabye muzamenyeshereze baliya banyamurenge ko ibihembo kagame aha abamufashije kwica abantu ali biliya yabahaye nabo
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C
Les autorités belges s'embourbent dans l'affaire rwandaise. Ils connaissent la Vérité sur les causes réelles des massacres contre les Tutsi et les renégats Hutu. <br /> 1/ Pour les curieux, il faut lire l'intégralité du rapport du Sénat Belge sur le Rwanda. Dans ce rapport, il est dit que le 6 avril 1994, derrière l'avion du Président Habyarimana, il y avait un avion espion belge équipé de système antimissile. La présence de cet avion dans le ciel rwandais à l'heure de l'assassinat du Président Rwandais n’a jamais fait l’objet d’un débat en Belgique et encore de la part des prétendus experts du Rwanda dont Filip Reyntejens. Il en est de même de l’avion plein des para-commandos belges le même jour et à la même heure au Rwanda. Après le méfait, les deux avions ont rebroussé chemin et atterri à Naïrobi. Cet avion espion équipé de système antimissile a nécessairement vu le lieu où les missiles qui ont abattu l’avion du Président Habyarimana ont été tirés. Le commandant de bord de cet avion a été interrogé par les sénateurs. Il a dit qu’il ne savait pas pourquoi le ministre de la défense en l’occurrence a envoyé un avion espion au Rwanda alors que la situation dans ce pays ne l’exigeait pas. Aucune question ne lui a été posée s’il a vu le lieu où les missiles ci-dessus indiqués ont été tirés car il les a nécessairement vus. Il en est de même de l’avion plein de militaires belges. Tous ces éléments ont été sciemment gommés par les sénateurs. <br /> Au lieu de centres les questions sur les points significativement essentielles, ils ont ergotés sur tout et rien. Ils n’ont pas abordé les éléments importants pourtant mentionnés dans le rapport. <br /> 2/ Sur la protection des Rwandais de l’ETO dont le veuve Nkurinzira Boniface, il me semble qu’il s’agit de l’arnaque de la part des plaignants. Ils veulent soutirer des sous à la Belgique par le jeu des plaintes fantaisistes et malhonnêtes. <br /> Pour protéger ces personnes contre les assassins, il fallait que les soldats belges se battent contre ces derniers. Cela aurait signifié que la Belge était publiquement avec le FPR contre le Rwandais et leur armée. Ce qui ne pouvait certainement pas rester sans conséquence quant à la sécurité des milliers de Belges au Rwanda. Il est de notoriété publique que ce sont les soldats belges qui ont détruit la RTLM, que sûrement sur ordre des autorités de leur pays, les soldats belges ont laissé leurs matériels de guerre au FPR, que l’ambassadeur de Belgique au Rwanda Johan Swinnen était conseillé spécial du FPR au su des Rwandais et des autorités de son pays.<br /> Si les soldats étaient intervenus pour protéger les Tutsi de l’ETO (sachant qu’il n’y avait pas que des Tutsi mais également des Hutu dits opposants au régime Habyarimana inexistant depuis avril 1994 dont la veuve Nkurinzira Boniface) en arguant l’exécution de la mission qui leur a été confiée par le Conseil de Sécurité de l’ONU à savoir la protection des civils rwandais sans distinction d’ethnie et/ou d’appartenance politique contre les assassins et la neutralité, ils seraient également intervenus pour protéger les civils Hutu impitoyablement massacrés par les bouchers du FPR sur ordre de Kagame. Ce qui aurait signifié la guerre entre les soldats belges et le FPR. <br /> Au vu des extraits d’arguments de juges belges, seules les soldats belges avaient pour mission de protéger les Tutsi contre les assassins Hutu c’est-à-dire étaient fondés pour combattre les Hutu Rwandais qui massacraient les Tutsi et nullement les soldats du FPR qui massacraient les Hutu. Ils avaient donc pour mission d’assurer la protection des Tutsi contre les agissements des Hutu et non pas les Hutu contre les agissements des soldats du FPR contre des Rwandais de la capitale et des banlieues et corrélativement, ils devaient s’allier au FPR contre les Hutu Rwandais.<br /> Sur le cas de Nkurinzira Boniface, celui-ci était conseiller du Président Habyarimana. Il s’est ensuite enrôlé dans le MDR après avoir constaté que le régime vit ses derniers jours. Linguiste qu’il était, c’est bien lui qui a inventé le mot AKAZU, retenu par les ignorants comme une organisation des criminels créée par le Président Habyarimana et les siens, auteurs de la planification et de l’exécution du génocide dit des Tutsi. Il a été tué parce qu’il était vu comme un renégat contre la République à qui il devait ce qu’il était devenu. Il convient de préciser que les jeunesses des partis ont cessé d’exister à compter du 6 avril 1994 et qu’elles ont formé une coalition pour combattre des milliers d’infiltrés du FPR dans la ville de Kigali. Les soldats belges ont aidé le FPR a envoyé des milliers de combattants quelques mois avant le 6 avril 1994. Ce sont eux qui ont fourni à Kagame les positions des FAR d’une part et la quantité et la qualité des moyens logistiques dont disposaient les FAR. Les soldats espions belges au sein de la MINUAR et ils étaient nombreux, opéraient pour le compte du FPR. Il y avait donc une liaison étroite entre le FPR et les soldats belges de la MINUAR.<br /> Une autre question se pose. Kaagame avait déployé dans Kigali des milliers de combattants en uniformes des FAR pour certains dont les Hutu du groupe Kanyarengwe. Combien de Tutsi ont été sauvés par les soldats du FPR ? <br /> Me Luc Walleyn et Me Philippe Lardinois ont invoqué la Jurisprudence néerlandaise : « le 27 juin 2017, l’État néerlandais a en effet été reconnu par sajustice pour partie responsable de la mort de 350 musulmans qui avaient été expulsés d’une base néerlandaise sous protection de l’ONU, dont les environs avaient été conquis par les troupes bosno-serbes, en 1995 dans le secteur de Srebrenica ».<br /> Ces avocats sont hors sujet et ce pour des raisons suivantes.<br /> Le 01/10/1990, les Batutsi regroupés au sein du FPR ont pris les armes contre le Rwanda et son gouvernement légal aux seules fins de s’emparer du pouvoir par la force, mettre en place un nouveau régime, une nouvelle armée et de nouvelles institutions (voir le Rapport Mucyo contre la France, l’interview de Kagame accordé au Journal le Monitor du 28 février au 2 mars 1993).<br /> Des milliers de Batutsi Rwandais ont quitté es écoles et universités pour s’enrôler massivement dans le FPR contre le Rwanda, à majorité écrasante Hutu.<br /> Ce sont les Batutsi qui les premiers ont commencé les massacres contre les Hutu et nullement l’inverse.<br /> Le 23/01/1991: Attaque du FPR dans la ville de Ruhengeri. Plus d'une centaine de personnes furent tuées à cette occasion. " Le FPR a également attaqué des objectifs clairement civils. <br /> <br /> Le 1 décembre 1991, ils ont attaqué un camp abritant 6.000 personnes déplacées à Rwebare. Ils prirent le camp d'assaut à partir de trois zones au bon milieu de la nuit, tuant 19 personnes et en blessant 34 autres. Une semaine plus tard, le FPR attaqua le petit hôpital de Nyarurema pour la troisième fois depuis le début de la guerre, tuant 6 infirmières et patients. D'autres objectifs civils comprenaient des écoles, des marchés et des maisons " (HUMAN RIGHTS WATCH, op. cit., p.44).<br /> Le 8/02//1993: Attaque généralisée dans les préfectures de Byumba et de Ruhengeri. Environ un million de personnes furent déplacées sans compter des centaines de milliers d'autres tombées sous les bombardements et les massacres des combattants du FPR. Plus de 40.000 morts selon les observateurs.<br /> Kagame qui commandant en chef du FPR qui incarne les Batutsi a décapité l’opposition : assassinats de Gapyisi Emmanuel, Gatabazi Félicien et Bucyana Martin<br /> Kagame a assassiné le Président Habyarimana alors qu’il venait de signer l’accord de paix d’Arusha qu’il a ensuité qualifié d’accord sans valeur juridique et donc un vulgaire papier après sa prise du pouvoir au Rwanda.<br /> Kagame a déployé des milliers de Tutsi dans la capitale avant le 6 avril 1994 et ce sont ces infiltrés en uniformes des FAR qui ont massacrés certains dirigeants de l’opposition dont la première ministre Uwilingiyimana, Kavaruganda, Ndasingwa et les autres sans oublier les hauts fonctionnaires à partir de la nuit du 6 avril 1994 , le tout y compris leurs familles.<br /> Ces faits sont véridiques et conséquemment vérifiables.<br /> Il s’ensuit qu’il n’existe aucun lien entre la jurisprudence invoquée par les avocats des plaignants et les massacres qui ont été commis au Rwanda d’abord contre les Hutu et ensuite contre les Tutsi.<br /> L’ordre de la commission des massacres au Rwanda et la situation contextuelle sont impératifs pour qualifier de génocide les crimes qui ont été commis contre les Tutsi et invoquer la responsabilité de la Belgique dans les massacres des Tutsi et Hutu à l’ETO en 1994. <br /> Il est étonnant que les avocats de l’avocat n’aient pas exposé la situation d’ensemble au Rwanda du 1 octobre 1990 au 4 juillet 1994, date de prise par la force par Kagame.<br /> La décision des juges belges est strictement politique. <br /> De par sa partialité et sa subjectivé ( ces juges opèrent une distinction entre les victimes et les auteurs des massacres des Rwandais) , elle est dépourvue de caractère juridique.<br /> Aussi, ces mêmes juges n’ont jamais actionné les assassins des millions de Hutu alors que les plaintes contre ceux-ci ont été déposées par les membres de leurs familles résidants en Belgique et ce, depuis plusieurs années.<br /> <br /> Quel est le coût de ce genre de procès pour les contribuables belges? <br /> A quand le procès contre les assassins Tutsi des citoyens belges au Rwanda dont Mlle Griet BOSMANS, Directrice belge de l’Ecole Normale Primaire (ENP) de Muramba, religieuse des Auxiliaires de l’Apostolat assassinée dans la nuit du 27 au 28 Avril 1997 vers 1 heure du matin avec <br /> dix-sept élèves et quatre autres personnes?
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U
Mbega amateka acuramye Uraturangije. Umwami iyo bamuhambaga bamusasiraga abantu 2 ibyo nabyo urabizi? Ingoma ya cyami ntacyo yigeze imarira abanyarwanda uretse kubapyinagaza cyakora wowe reka uyishyigikire ntawakurenganya. Mujye mukomeza gusa mucurike amateka ukuri kurazwi
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Y
Ibitabo by'abadage n'ababiligi babyanditse Kinani atarabaho ! Ko abahutu ntacyo mwapfaga abo mwatsembye Byumba Ruhenger Gikongoro na Butare mwabahoyiki ? Igihe sobuja Kagome yajyaga acucuma abo wita abatindi mu isokoi wamubajije icyo yakoraga ?ndabona wahiye nkuwavukanye imbuto yubuperezida .Pumbafu !
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K
Kimwe mu binyoma bya karahabutaka abajenosideri b' abahutu b'intagondwa bakoresheje kugirango bigishe urwango hagati y'abahutu n'abatutsi, ni ukubeshya ko umugabekazi Kanjogera ngo yajyaga ashinga inkota mu mugongo w'abana b'abahutu agahaguruka. Abajenosideri Bose barangwa no gukwiza impuha zigambiriye gukongeza urwango. Na Hitler yabwiraga Abadage ko Abayahudi ari abagome muri kamere yabo ngo kuko aribo bishe Yezu umwana w'Imana bamubambye ku musaraba. Nyamara ubushakashatsi bwerekanye ko Yezu yishwe n'abaromani kubera inyigisho yatangaga zatumaga abayisraheli bigomeka ku bakoloni babo aribo Baromani. Ibyo abakunda gusoma ibitabo by'amateka barabizi. Tugarutse iwacu. Kanjogera nta kibazo yari afitanye n'abahutu. Umugabekazi Kanjogera yari umwega ikibazo yari agifitanye n'abanyiginya kubera ko bapfaga ubutegetsi. Ibi ni nabyo byaje guteza intambara yo ku Rucunshu. Kuko Kanjogera yashakaga kwimika umuhungu we Musinga bagakuraho Rutarindwa wari ushyigikiwe n'abanyiginya benshi. Kanjogera nta kibazo yari afitanye n'abahutu kuko abahutu Bari rubanda rugufi cyane biganjemo abacyene n'abatindi nta butegetsi Bari bafite ngo barabupfa. Izi mpuha zakwirakwijwe n'abahutu b'intagondwa bari bagamije kurangaza abantu ngo ntibabone ko Leta ya Habyalimana Hari ibibazo bikomeye yateje abanyarwanda ahubwo berekane ko ikibazo ari abatutsi. Izi mpuha zayobeje benshi batazi amateka y'u Rwanda. Iyi niyo mpamvu Leta ya Habyalimana yakoze uko ishoboye igahisha abanyarwanda amateka nyakuri y'u Rwanda kugeza ubwo Inkotanyi zateye muri 1990 benshi mu rubyiruko rwo mu Rwanda batanazi ko u Rwanda rwari rumaze igihe rufite impunzi zabujijwe gutaha kugeza bivuyemo intambara. Banyarwanda mushyira mu gaciro Imana yabahaye ubwenge kugirango mushakashake ukuri kuko nibyo bikurinda abakuyobya bakakuganisha mu nzira zizakugiraho ingaruka mbi. Abajenosideri b'abahutu b'intagondwa bayobeje abanyarwanda benshi kubera ibinyoma, uburyo bwo kwirinda abantu nkabo Ni ukugira ubushake bwo kumenya ukuri. Ibyo binyoma na nubu baracyabitsimbarayeho babihinduyemo ukwemera gushingiye ku nyigisho zo kwanga abatutsi. Izi nizo nyigisho z'inzaduka zazanywe n'abahutu b'intagondwa uku kwemera kwabo gushingiye ku irari ryabo ryo kugera ku butegetsi bakoresheje inzangano hagati y'abahutu n'abatutsi. Ukuri Ni uko Abahutu Bose atari babi, abatutsi Bose atari babi, abatwa Bose atari babi. Amoko yose ku isi abamo imbwa n'abagabo.
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I
Umwiru Christophe umwuzukuruza wa Kannjogera anyabitseho igisigo yafatishijwe mu mutwe ! Wibagiwe gushyiraho za nkota Kanjogera yagurukiragaho ku bibondo byabahutu. Ntiwananzuye werekana ikimanuka cyavukanye imbuto yubuperezida mu ntoki . Wanibagiwe ko muli jenosayidi yabayahudi nta gisoda cyabayahudi cyicaga abaturaburayi badafite imbunda . Ubucucu bwintagondwa nkawe nuko wica umubyeyi ukumva ko imfubyi asize irapfukama ikamubwira ngo "merci".<br /> Uwiyita umututsi mwiza ; ndetse nabandi nkawe ; mukomere ! Twese hamwe ;tuzibohora vuba !
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C
Abahutu b'intagondwa bibeshyaga ko gutegura irimburabatutsi aricyo kizatuma baguma ku butegetsi. Niyo mpamvu bashinze Radio RTLM ibinyamakuru nka KANGURA byamamazaga urwango Abahutu bakwiye kwanga abatutsi. Niyo mpamvu bashinze ishyaka CDR ryabeshyaga ko rivugira abahutu kandi rivugira abashiru bari barigaruriye ubutegetsi, niyo mpamvu abahanzi nka Bikindi Simoni birirwaga bakangurira Abahutu kwishyira hamwe bakarimbura abatutsi ndetse we akanerura rwose akavuga ko yanga Abahutu badashaka kwicana. Niyo mpamvu bashinze Interahamwe batangira no kuziha imyitozo yo kwica abatutsi bikorewe mu bigo bya gisirikare i Gabiro, Bigogwe na Gako. Niyo mpamvu batumije Toni z'imihoro mu bushinwa yo kuzica abatutsi. Ibi byose byabaye Habyalimana ataricwa. Habyalimana yarasiwe mu ndege n'abantu bataramenyekana neza kugeza ubu, uretse gushinjanya bigendeye ku marangamutima. Cyakora Iperereza riheruka gukorwa n'abafaransa ryo ryerekanye ko Habyalimana yarashwe n'imbunda yari ishinze mu kigo cy'i Kanombe cyari cyirinzwe n'abasirikare ba Leta ya Habyalimana biyitaga Inzirabwoba. Mu busanzwe abafaransa bari bamenyerewe mu kurengera Abahutu b'intagondwa kubera uruhare rutaziguye Leta ya Mitterrand yagize muri genocide yakorewe abatutsi. Habyalimana Amaze kwicwa bwacyeye igihugu cyose cyashyizwemo barrieres zo kwiciraho abatutsi. Aha umuntu yakwibaza aho kwica abatutsi bihuriye n'urupfu rwa Habyalimana!! Ese tuvuge ko abatutsi Bose kuva ku mwana utaramenya kuvuga kugera ku mucyecuru utakibona, kuva ku mututsi wo ku Rusumo kugera ku mututsi wo mu Bugarama, bose bafashe imbunda bagahurira i Kanombe maze bagahanura indege ya Habyalimana? . Iyi mikino y'umwanda wa Politike y'abahutu b'intagondwa nabo yabagizeho ingaruka kuko ntabwo bateganyaga ko bazakurikiranwa kuri ibyo byaha bya genocide bateguye bakanajandika abaturage b'abahutu bakunda guhubuka muri uwo mwanda wabo wo gukora genocide yakorewe abatutsi. Bumvaga ko kwica umututsi atari icyaha. Niyo mpamvu ubu birirwa batakira ingoyi ngo habayeho na genocide yakorewe interahamwe, Niyo mpamvu bataye umutwe bakavuga ko ngo interahamwe ari President Kagame wazishinze!!! aha umuntu yakwibaza niba Kagame yarigeze aba mu ishyaka rya MRND cyangwa rya CDR kuko ariyo mashyaka yatangije gahunda yo gushinga interahamwe n'impuzamugambi zafunguye ku mugaragaro umushinga wo kurimbura abatutsi mu Rwanda bagasigaza umwe wo kuzajya bereberaho uko umututsi yasaga. Uwo mututsi umwe ngo Bari gusigaza ni Kajuga Robert. Abahutu b'intagondwa byarabagoye guhakana no gupfobya genocide yakorewe abatutsi Iyi nyito ikaba imaze no kwemezwa n'isi yose ko mu Rwanda habaye genocide yakorewe abatutsi, ibindi byose byahabaye ni ingaruka z'iyi genocide bikwiye kujya ku mutwe w'abateguye bakanashyira mu bikorwa Iyi genocide.
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I
Ikinyoma no kukililimba ahantu hose incuro igihumbi !!!!<br /> Iyo ingabo za Kagome zishe impunzi zabakongomani ; ku ma radio na tv zamahanga bishyura imisoro yabaturage hahitishwa isaro lya jenosayidi ya 300 000 ; nabuze uwo mbaza mwa baliya biliza niba miliyoni 13 zirenga Kagome yishe ; zitarashyingurwa mu cyubahiro zo atali abantu ! Cg se iyo ufashije amahanga gusahura Afrika niho ugura ubumuntu !!!!!!
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S
Ubundi bavuga ko ukomye urusyo agomba no gukoma ingasire. Igihe interahamwe zicaga abantu muri eto, inkotanyi nazo zicaga abantu mu turere twose zagenzuraga. Ikindi kintu abantu batajya bibuka cyangwa birengagiza nkana ni ijambo Kagame yivugiye we ubwe ko ingabo z’amahanga zigomba guhambira zikava ku butaka bw’u Rwanda my gihe cy’amasaha 7 bitaba ibyo akazifata nk’ingabo z’umwanzi.! Ikindi ni ibarwa (letter) yasinywe na Charles Muligande makes Claude Dusaidi igenewe L’ONU. Iyo barwa yasabaga loni kudahirahira yohereza ingabo zo gutabara abanyarwanda bicwaga ngo kuko mu kwezi kwa gatanu genocide yari yarangiye ko nta mututsi wari usigaye. (Mbega ubugome)! Amateka y’igihugu cyacu arababaje ikibazo kikaba ko bamwe batwerera abandi ibibi byabaye bo bakigira ba miseke igoroye. Mama shenge. Niba kuba interahamwe bisobanuye kuba umwicanyi, Kagame arusha ubuterahamwe interahamwe.
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@
Erega uba utumije inama y'umwiherero kugirango wibagize ubwicanyi bwa bene wacu i murenge, reka tuze turebe ivi hasi VS AK47.
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I
Nasomye amakuru atandukanye ku Gihe, aho Kagame yagiye avugwa mubibtu binyuranye, nyuma yibyo bita impanuro Kagame yahaye za Bulldogs ziwe , ntasoni afite cg se ikimwaro cy'ibiherutse gukorerwa impunzi , zo Kiziba, nandi mahano menshi , adakwiriye umuprezida, Kagame yohereje Condolences muri Burkinafaso , ababwira ko yifatanijw nabo mubitero by'itera bwoba bahuye nabyo hagapfa 13, Kagame ntiyigeze ababazwa nibyo yakoreye imiryango ya abapolisi ni ingaboze ngo abihanganishe kuri we ni uburenganzira bwe bwo kwica . Mukiganiro Kagame yagiranye nu umunyamakuru igihe yari Munich , Kagame yavuze kwiyegura rya Zuma , na Haelemaliam wa Ethiopia, ndetse nigenda rya Mugabe nki ikimenytso cyo kwijajara kwa Democratie muri Afrika. Kubimwerekye yavuze ko yahohotewe ko yashakaga kugenda , nyuma yamandaye nyuma abanyarwanda bakamushyira ho ku gatuza. Kimwe nasanze gikomeye kandi kiba mumicyo ya gitutsi ni ukubeshya kandi wibwira ko abo ubwira ari injiji. Ati ibyo nkora mbikora mu inyungu za abaturage, njye nayobwe abaribo kuko abo nakeakga nabo yatagiye kubacura mo inkumbi abatangaho ibitambo bya amaraso ku mana ze, NABO BAZUNGU BO MURI iLLIMINATE. Isi ibaye ikiriho ntekereza ko Kagame andikwa ho ibint byinshi kandi bibi. Aza rushya Nyirakuru Kanjoger kuko we azwi na Abanyarwanda.