États-Unis : Éric Trump et Christine Coleman ont échangé sur la répression au Rwanda et l’instabilité régionale.

Dans un contexte régional marqué par la répression et l’insécurité, la Révérende Christine Coleman, Présidente du Mouvement pour la République et la Démocratie (MRD), poursuit son engagement en faveur de la paix, de la démocratie et des droits humains dans la région des Grands Lacs africains. Sa voix s’élève sans relâche pour dénoncer les injustices et porter un message d’unité, de vérité et d’espérance.

Lors d’un événement spécial organisé au Colorado, Mme Coleman a eu l’opportunité d’échanger avec M. Éric Trump, fils du Président des États-Unis, Donald J. Trump. Elle a exprimé sa profonde gratitude envers M. Trump pour l’attention qu’il lui a accordée, ainsi qu’aux organisateurs de cette rencontre mémorable.

Au cours de cet entretien, Mme Coleman a attiré l’attention de M. Trump sur la situation dramatique des droits humains au Rwanda, sous le régime autoritaire de Paul Kagame. Elle a dénoncé les multiples violations commises par le gouvernement du Front Patriotique Rwandais (FPR), notamment les arrestations arbitraires, les actes de torture, les disparitions forcées et les exécutions extrajudiciaires visant les opposants politiques.

Elle a évoqué avec insistance le cas de Mme Victoire Ingabire, figure emblématique de l’opposition démocratique, de nouveau emprisonnée pour des raisons politiques. Son « crime»? Être à la tête d’un parti dont certains membres ont simplement lu un livre promouvant la résistance non violente aux régimes dictatoriaux.

Mme Coleman a solennellement demandé à Éric Trump de transmettre un message personnel au Président Donald Trump : un appel à l’intervention des États-Unis pour soutenir le peuple rwandais et exiger la libération immédiate de Victoire Ingabire. M. Éric Trump, selon ses propos, a accueilli ce message avec bienveillance et s’est engagé à le relayer auprès de son père, le Président des États-Unis.

Au-delà de la répression interne, la Présidente du MRD a également dénoncé l’impact régional du régime de Paul Kagame, qu’elle accuse de compromettre la stabilité des Grands Lacs. Elle a notamment souligné le rôle central du Rwanda dans le soutien militaire et logistique au groupe armé M23, responsable de graves exactions dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC).

Pour Mme Coleman, ce soutien direct constitue une menace pour la paix dans toute la région. « Le temps est venu de mettre fin aux souffrances causées par la dictature du FPR », a-t-elle déclaré. « Le changement est non seulement nécessaire, il est imminent. »

Le MRD réaffirme ainsi son engagement en faveur d’une transition pacifique, inclusive et démocratique au Rwanda, condition indispensable pour construire un avenir de stabilité et de paix durable dans toute la région des Grands Lacs.

Veritasinfo.