Appel à la responsabilité : un citoyen canadien impliqué dans le financement de crimes transfrontaliers à l’est de la RDC.
Nous exhortons les autorités canadiennes, en particulier à Ottawa, à enquêter sur l’implication d’un citoyen canadien dans le financement des rebelles du M23, un groupe dirigé par des Tutsis et responsable de violences et de massacres à grande échelle à l’est du Congo. Comment un citoyen canadien a-t-il pu se retrouver à financer des rebelles armés ayant massacré des millions de Congolais ?
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Un citoyen canadien nommé vice-gouverneur de Goma par les rebelles du M23 avec le soutien de Kagame
Les peuples du Rwanda, du Congo et du Burundi doivent se mobiliser pour dénoncer les fraudeurs tutsis qui ont infiltré les systèmes d’asile du Canada, du Royaume-Uni, des États-Unis, de l’Allemagne, de la Belgique, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande en prétendant faussement être des rescapés du génocide rwandais de 1994. Ces individus ont manipulé les lois internationales sur l’asile pour obtenir la citoyenneté dans des pays occidentaux, alors qu’ils étaient en réalité d’anciens soldats du Front Patriotique Rwandais (FPR) de Paul Kagame, impliqués activement dans des assassinats et des crimes de guerre.
L’un des exemples les plus flagrants est celui de Willy Manzi, un Tutsi Munyaruguru, qui a obtenu l’asile et plus tard la citoyenneté canadienne en prétendant faussement être un survivant du génocide. Grâce à cette tromperie, il a bénéficié des protections de l’immigration canadienne. Pourtant, il est aujourd’hui réapparu au Nord-Kivu, en RDC, en tant que vice-gouverneur, nommé par les rebelles tutsis du M23 avec le soutien total du général Paul Kagame du Rwanda.
La vérité sur Willy Manzi et ceux qui lui ressemblent.
Manzi et bien d’autres n’ont jamais été des victimes du génocide — ils étaient des combattants actifs du FPR, impliqués dans l’assassinat, le 6 avril 1994, du président rwandais Juvénal Habyarimana et du président burundais Cyprien Ntaryamira. Cet assassinat a déclenché les violences de masse au Rwanda, mais ces individus ont manipulé le récit pour se faire passer pour des victimes plutôt que pour des auteurs de crimes.
En prétendant faussement avoir survécu au génocide, ils ont obtenu le statut de réfugié et la citoyenneté dans des pays occidentaux, avant de réapparaître plus tard en tant que figures politiques et militaires promouvant l’agenda expansionniste de Kagame en RDC.
Comment un citoyen canadien est-il devenu un chef rebelle au Congo ?
Le cas de Willy Manzi soulève de sérieuses questions : comment a-t-il pu manipuler les lois canadiennes sur l’asile pour obtenir la citoyenneté, avant de devenir un haut dirigeant rebelle au Congo ? Comment un homme qui prétendait être un « survivant du génocide » peut-il soudainement occuper un poste de premier plan au sein du M23, un groupe rebelle commettant des crimes de guerre en RDC ?
Ce cas met en lumière une tendance dangereuse : des agents de Kagame infiltrent les pays occidentaux, obtiennent la citoyenneté, puis sont réaffectés en Afrique pour servir les intérêts militaires et politiques du Rwanda.
Violation de la loi canadienne : responsabilité criminelle pour le financement des conflits
Selon la loi canadienne, il est illégal pour un citoyen canadien de financer ou de soutenir des conflits armés et des groupes impliqués dans des actes de violence. Conformément au Code criminel du Canada, il est un crime de :
- Fournir, collecter ou rendre disponibles des fonds ou des biens pour soutenir le terrorisme ou des groupes armés.
- Contribuer à des activités entraînant des atrocités de masse, comme celles commises par le M23 à l’est du Congo.
De plus, la Loi sur les mesures économiques spéciales (SEMA) permet au Canada d’imposer des sanctions contre les individus et entités impliqués dans des violations graves de la paix et de la sécurité internationales, y compris ceux qui financent des groupes rebelles responsables de violations des droits humains.
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Cela signifie que tout citoyen canadien reconnu coupable de soutenir financièrement ou autrement le M23 est en violation directe des lois canadiennes et doit être poursuivi en conséquence.
Appel à l’action : enquêter, poursuivre et tenir les coupables responsables
Nous demandons aux autorités canadiennes de :
- Lancer une enquête approfondie sur Willy Manzi et tout autre citoyen canadien impliqué dans le financement ou le soutien des rebelles du M23.
- Révoquer la citoyenneté canadienne de toute personne reconnue coupable d’avoir obtenu l’asile par des moyens frauduleux.
- Poursuivre, en vertu de la loi canadienne, ceux qui ont directement ou indirectement soutenu des groupes armés responsables d’atrocités en RDC.
- Appliquer la Loi sur les mesures économiques spéciales (SEMA) et les lois connexes pour sanctionner ceux qui facilitent les conflits et les pertes humaines en Afrique.
La communauté internationale doit réagir.
Au-delà du Canada, nous exhortons les autorités de l’immigration du Royaume-Uni, des États-Unis, de l’Allemagne, de la Belgique, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande à réexaminer toutes les demandes d’asile déposées par des Tutsis qui se sont déclarés survivants du génocide, alors qu’ils étaient en réalité des combattants du FPR ou des agents de Kagame.
De plus, la communauté internationale doit reconnaître le système d’apartheid au Rwanda, où une élite tutsie (14 % de la population) détient le pouvoir politique et économique total, tandis que la majorité hutue demeure opprimée.
Justice pour les peuples du Congo et de la région des Grands Lacs.
Willy Manzi et d’autres comme lui doivent faire face à des conséquences judiciaires. Leur tromperie leur a permis d’échapper à la justice, d’obtenir une protection internationale et de continuer à alimenter la guerre et l’oppression en Afrique.
Nous ne pouvons pas permettre à ces criminels d’utiliser les pays occidentaux comme refuges tout en orchestrant destruction et effusion de sang en Afrique.
Trop, c’est trop ! Nous exigeons justice avant que d’autres vies innocentes ne soient perdues.
Veritasinfo.