USA-AFRIQUE: UN PANAFRICANISTE PROTESTE CONTRE LE SOMMET DE WASHINGTON
Qui l’aurait cru ? Barack Hussein Obama - cet homme hybride, président des Etats-Unis, dont les deux mandats resteront dans l’histoire africaine, le pire cauchemar que les Africains aient connu après le siècle de l’esclavage et la balkanisation de l’Afrique - vient de tendre la main aux chefs d’Etat africains pour un sommet qu’il avait convoqué depuis le mois d’août 2013 à la Maison Blanche en l’honneur de « l’Afrique » disait-il.
Avec toutes les pressions de prédation qui s’exercent sur l’Afrique, aucun chef d’Etat invité à la Maison Blanche n’a fait honneur aux peuples africains et à l’Afrique en remettant cet agenda ultérieurement. Comme des écoliers se rendant à l’école en venant d’horizons divers, ils se rendent en rangs dispersés à la Maison Blanche pour rencontrer leur enfant-professeur qui leur donnera des leçons de gouvernance, de gestion de crise et de bandes armées, de l’économie et de gestion des ressources naturelles, de développement social et infrastructurels.
Voila la recette des différentes matières que nos leaders sont allées étudier aux USA en 48 heures. Des enseignements qu’ils devraient recevoir de la Maison Blanche au sortir duquel ils obtiendront leur diplôme, une photo de famille des chefs d’états et de gouvernements africains posant avec l’homme le plus fort de la planète.
Il apparaît que ce soit un rêve pour certains leaders africains qui n’avaient jusqu’ici eu le privilège que de poser auprès d’un Sarkozy (parti) ou d’un Hollande (partant) ou de Hu Jintao l’ex-président chinois. Cette fois, c’est le comble pour ceux-là, d’avoir été à Pékin, Paris, et Washington et pourquoi ? Pour représenter leurs villages et contrées et non nos « pays » africains du point de vue du Congrès de Berlin.
Il faut le savoir, ils y sont allés pour y être humiliés. Quelques jours auparavant, leur professeur monsieur Obama, leur a présenté leurs potentiels héritiers, ces 500 jeunes africains qui devraient leur succéder à la tête de leurs pays selon Washington. Et sans honte, ces hommes et femmes politiques et diplomates africains qui font aujourd’hui le malheur de l’Afrique se sont laissés aller à leur tour après leurs petits enfants pour apprendre par la voix du maître du monde, qui seront les futurs héritiers, qu’ils le veuillent ou non.
REVENONS AU PROBLÈME DE FOND !
Pourquoi les intellectuels africains auraient-ils du demander aux leaders africains de ne pas se rendre à Washington ? Pour qu’ils perdent une occasion unique du genre… qui ne se répéterait peut-être plus jamais pour certains parmi eux ?! On dit ici chez nous en Afrique que le ridicule ne tue pas et évidemment, ce ridicule de tous les ans, à Paris, à Pékin, à Tokyo, New-Delhi n’a jamais tué un leader africain. Quelle ironie !!!
Nos leaders vont rentrer de Washington avec dans leur bagages, la validation de leurs héritiers potentiels - 500 bons jeunes appelés à les remplacer à la tête de nos pseudo-états -, l’ouverture de l’Afrique aux homosexuels, l’octroi sans conditions des terres africaines et de nos sous-sols aux yankees, en plus de l’APE avec l’UE, ça sera l’APE avec les USA et petit à petit on sera engloutis économiquement non seulement par l’Union européenne mais par les ‘amérequins’, je veux dire, les Américains pour petit à petit nous fondre dans l’abîme, comme ce que vit de nos jours la Palestine sur sa terre. Une terre palestinienne rayée de la carte du monde au détriment de l’Israël… une terre palestinienne devenue oasis sur une terre ferme. Voila où nous conduisent nos chefs d’état actuels, voila où s’enfonce cette Afrique qu’on voulait unie et débarrassée de toutes menaces extérieures.
L’UA MORIBONDE
En tout cas, l’UA signera au soir de ce 6 août 2014, depuis Washington son acte de décès. Depuis 2011, l’UA était dans le coma aux urgences depuis la destruction de Tripoli, elle ne s’en sortira peut-être plus car elle va définitivement vers la mort et nous aurons juste nos yeux pour pleurer. Africom arrive et va prendre la destinée de l’UA en mains.
Aucun Africain, digne et respectueux de l’éthique africaine, n’accepterait une telle humiliation surtout lorsqu’il s’agit des leaders qui, en notre temps, sont les leaders de l’Afrique indépendante… je souligne ici la figure de Robert Mugabe. Qu’il ne soit pas sur la liste des invités, semble un honneur pour les indépendantistes africains, mais seul, que fera-t-il dans un océan de traîtres africains.
Le pire est que c’est un prédateur noir, l’homme qui, pour une première fois dans l’histoire de l’Afrique, a déversé plus de 8000 bombes à uranium appauvri et/ou enrichi sur le sol africain, c’est cet homme là, qui reçoit les Africains pour soi-disant « ouvrir un nouveau chapitre dans la relation entre les Etats-Unis et l’Afrique ». L’homme noir que les grands fauves de l’Amérique ont utilisé pour assassiner plus de 350.000 Libyens et tuer l’homme le plus aimé de l’Afrique, le Colonel Kadhafi.
Que nos Africains s’asseyent à ses côté, ils jettent l’opprobre sur la tombe des martyrs africains. En tout cas, ils y sont allés pour eux et leurs familles et non pour l’Afrique. Les réactions des Africains sur la chaine panafricaine AFRIQUE MEDIA TV ont montré à suffisance au cours de ces deux dernières semaines que 8/10 des téléspectateurs qui ont appelé pour réagir sur le sommet USA-Afrique étaient entièrement contre le déplacement des chefs d’état et de gouvernement africains à la Maison Blanche.
Ces leaders africains, écoutent-ils leur peuple ?
QUEL ENSEIGNEMENT CES LEADERS AFRICAINS VEULENT LAISSER A LA POSTERITE ?
Ils ont perdu le sens de l’Honneur et le reste du monde en profite pour les traiter en moutons d’abattoir. Ils sont pitoyables dans leur être lorsque tous les ans ils se rendent en longue file indienne dans les capitales étrangères pour faire la salle de classe devant un professeur dont le nom est à tour de rôle : France, Chine, Japon et aujourd’hui, USA.
Est-ce que ces dirigeants africains ne peuvent pas abandonner leur souveraineté à l’UA pour se rendre en duo, UA-USA, UA-CHINE, UA-FRANCE, UA-INDE, UA-ETC… pour résoudre les problèmes de l’Afrique. Quel est ce malheur qui frappe sur le front des Africains, qui, chaque fois doivent être la risée des autres nations ? J’ai du mal à être dans la peau de ces chefs d’état sans gloire ni honneur.
ET LE PRÉDATEUR ?
Ce que les Africains n’ont pas compris là où les Latino-Américains ont déjà pris leurs distances, c’est que ces leaders noirs ne connaissent pas les enjeux mondiaux de l’heure ou bien, ils le savent mais créent les conditions pour pourrir l’Afrique après eux.
Les USA n’ont jamais été un partenaire fiable. Ils ont toujours dupé, fait croire au paradis aux peuples du monde, mais ce paradis s’est toujours transformé en enfer de l’enfer. Les pays Latino-Américains en sont bien avertis, l’Iraq, l’Afghanistan, le Pakistan, la Libye décapitée sous nos yeux, la Somalie d’aujourd’hui, la Syrie actuelle en sont des illustrations éloquentes.
Aucune sécurité extérieure (Africom, UE, OTAN, Casques bleus de l’ONU) n’a jamais été et ne sera jamais bénéfique pour l’Afrique sauf si ce sont les Africains eux-mêmes qui en conjuguent les efforts. La sécurité des USA pour l’Afrique c’est l’insécurité totale…
Il est clair que mon analyse ne changera jamais l’avis de ces chefs d’Etat avides de notoriété. Ils ont payé le prix du diamant pour se payer le luxe en se ruant à Washington poser auprès du noir-blanc africain de la Maison Blanche, qui est détesté lui-même aujourd’hui par les Noirs américains pour ses basses œuvres dans le monde notamment en Afrique et aux Etats-Unis même.
POUR MÉMOIRE : OBAMA, L’HAMEÇON DES PRÉDATEURS DE LA MAISON BLANCHE POUR LES AFRICAINS…
Lorsque cet homme arrive au pouvoir lors de son premier mandat, il montre immédiatement un désintérêt pour l’Afrique. Lors de sa première visite africaine qu’il effectue au Ghana en juillet 2009, il tance les chefs d’Etat africain et les traite de despotes, des infréquentables… puis lors de son discours à Accra il sermonne nos « despotes » africains tel et si bien que l’on n’aurait pu imaginer que ce serait encore lui, cinq ans après, qui les convoquera à la Maison Blanche.
Bref, il reviendrait aux leaders africains de soigner leurs images écornées. Ces néo-colonisateurs viennent toujours avec des idées sincères… vous croyez que vous êtes en train de consommer un bon poisson mais à votre grande surprise, vous trouvez une vipère vivante – somnolant dans votre plat prête à vous mordre l’œsophage.
Et pour paraphraser Louis Farrakhan, ami du Guide Kadhafi, « Ne pensez pas qu'ils n’ont pas l'intention de vous voler ce qui se trouve sous votre pied ! Leurs actions ne sont pas à votre avantage, mais à leur avantage (...). Leur jeu est toujours le même. Ils n'ont jamais changé, et ils ne changeront pas maintenant. Le serpent peut se débarrasser de la « vieille peau », mais la "nouvelle peau" qu’il revêt reste la même: il apparaît juste «frais» et «neuf». »
Avec toutes les pressions de prédation qui s’exercent sur l’Afrique, aucun chef d’Etat invité à la Maison Blanche n’a fait honneur aux peuples africains et à l’Afrique en remettant cet agenda ultérieurement. Comme des écoliers se rendant à l’école en venant d’horizons divers, ils se rendent en rangs dispersés à la Maison Blanche pour rencontrer leur enfant-professeur qui leur donnera des leçons de gouvernance, de gestion de crise et de bandes armées, de l’économie et de gestion des ressources naturelles, de développement social et infrastructurels.
Voila la recette des différentes matières que nos leaders sont allées étudier aux USA en 48 heures. Des enseignements qu’ils devraient recevoir de la Maison Blanche au sortir duquel ils obtiendront leur diplôme, une photo de famille des chefs d’états et de gouvernements africains posant avec l’homme le plus fort de la planète.
Il apparaît que ce soit un rêve pour certains leaders africains qui n’avaient jusqu’ici eu le privilège que de poser auprès d’un Sarkozy (parti) ou d’un Hollande (partant) ou de Hu Jintao l’ex-président chinois. Cette fois, c’est le comble pour ceux-là, d’avoir été à Pékin, Paris, et Washington et pourquoi ? Pour représenter leurs villages et contrées et non nos « pays » africains du point de vue du Congrès de Berlin.
Il faut le savoir, ils y sont allés pour y être humiliés. Quelques jours auparavant, leur professeur monsieur Obama, leur a présenté leurs potentiels héritiers, ces 500 jeunes africains qui devraient leur succéder à la tête de leurs pays selon Washington. Et sans honte, ces hommes et femmes politiques et diplomates africains qui font aujourd’hui le malheur de l’Afrique se sont laissés aller à leur tour après leurs petits enfants pour apprendre par la voix du maître du monde, qui seront les futurs héritiers, qu’ils le veuillent ou non.
REVENONS AU PROBLÈME DE FOND !
Dans le mode opératoire du prédateur qu’il est, le président des USA a appâté les dirigeants africains en leur indiquant qu’ils devraient parler de l’économie, de la situation sécuritaire en Afrique. Or même l’Africain le moins instruit sait très bien pourquoi Obama a invité nos leaders africains aux USA. Non seulement cette invitation a permis à certains leaders africains, qui auraient du mourir ou quitter le pouvoir en ayant visité seulement New-York où se trouve le fourre-tout des Nations-Unies qui accueillent tous les ans tous les monstres politiques du monde, de voir aussi Washington. Obama a cette fois donc permis à certains leaders africains de visiter Washington. Washington… Quel rêve !? Mais il ne fallait pas qu’ils ratent une telle occasion.
Pourquoi les intellectuels africains auraient-ils du demander aux leaders africains de ne pas se rendre à Washington ? Pour qu’ils perdent une occasion unique du genre… qui ne se répéterait peut-être plus jamais pour certains parmi eux ?! On dit ici chez nous en Afrique que le ridicule ne tue pas et évidemment, ce ridicule de tous les ans, à Paris, à Pékin, à Tokyo, New-Delhi n’a jamais tué un leader africain. Quelle ironie !!!
Nos leaders vont rentrer de Washington avec dans leur bagages, la validation de leurs héritiers potentiels - 500 bons jeunes appelés à les remplacer à la tête de nos pseudo-états -, l’ouverture de l’Afrique aux homosexuels, l’octroi sans conditions des terres africaines et de nos sous-sols aux yankees, en plus de l’APE avec l’UE, ça sera l’APE avec les USA et petit à petit on sera engloutis économiquement non seulement par l’Union européenne mais par les ‘amérequins’, je veux dire, les Américains pour petit à petit nous fondre dans l’abîme, comme ce que vit de nos jours la Palestine sur sa terre. Une terre palestinienne rayée de la carte du monde au détriment de l’Israël… une terre palestinienne devenue oasis sur une terre ferme. Voila où nous conduisent nos chefs d’état actuels, voila où s’enfonce cette Afrique qu’on voulait unie et débarrassée de toutes menaces extérieures.
L’UA MORIBONDE
En tout cas, l’UA signera au soir de ce 6 août 2014, depuis Washington son acte de décès. Depuis 2011, l’UA était dans le coma aux urgences depuis la destruction de Tripoli, elle ne s’en sortira peut-être plus car elle va définitivement vers la mort et nous aurons juste nos yeux pour pleurer. Africom arrive et va prendre la destinée de l’UA en mains.
Aucun Africain, digne et respectueux de l’éthique africaine, n’accepterait une telle humiliation surtout lorsqu’il s’agit des leaders qui, en notre temps, sont les leaders de l’Afrique indépendante… je souligne ici la figure de Robert Mugabe. Qu’il ne soit pas sur la liste des invités, semble un honneur pour les indépendantistes africains, mais seul, que fera-t-il dans un océan de traîtres africains.
Le pire est que c’est un prédateur noir, l’homme qui, pour une première fois dans l’histoire de l’Afrique, a déversé plus de 8000 bombes à uranium appauvri et/ou enrichi sur le sol africain, c’est cet homme là, qui reçoit les Africains pour soi-disant « ouvrir un nouveau chapitre dans la relation entre les Etats-Unis et l’Afrique ». L’homme noir que les grands fauves de l’Amérique ont utilisé pour assassiner plus de 350.000 Libyens et tuer l’homme le plus aimé de l’Afrique, le Colonel Kadhafi.
Que nos Africains s’asseyent à ses côté, ils jettent l’opprobre sur la tombe des martyrs africains. En tout cas, ils y sont allés pour eux et leurs familles et non pour l’Afrique. Les réactions des Africains sur la chaine panafricaine AFRIQUE MEDIA TV ont montré à suffisance au cours de ces deux dernières semaines que 8/10 des téléspectateurs qui ont appelé pour réagir sur le sommet USA-Afrique étaient entièrement contre le déplacement des chefs d’état et de gouvernement africains à la Maison Blanche.
Ces leaders africains, écoutent-ils leur peuple ?
QUEL ENSEIGNEMENT CES LEADERS AFRICAINS VEULENT LAISSER A LA POSTERITE ?
Ils ont perdu le sens de l’Honneur et le reste du monde en profite pour les traiter en moutons d’abattoir. Ils sont pitoyables dans leur être lorsque tous les ans ils se rendent en longue file indienne dans les capitales étrangères pour faire la salle de classe devant un professeur dont le nom est à tour de rôle : France, Chine, Japon et aujourd’hui, USA.
Qu’avons-nous fait pour mériter un tel sort ?
Est-ce que ces dirigeants africains ne peuvent pas abandonner leur souveraineté à l’UA pour se rendre en duo, UA-USA, UA-CHINE, UA-FRANCE, UA-INDE, UA-ETC… pour résoudre les problèmes de l’Afrique. Quel est ce malheur qui frappe sur le front des Africains, qui, chaque fois doivent être la risée des autres nations ? J’ai du mal à être dans la peau de ces chefs d’état sans gloire ni honneur.
ET LE PRÉDATEUR ?
Ce que les Africains n’ont pas compris là où les Latino-Américains ont déjà pris leurs distances, c’est que ces leaders noirs ne connaissent pas les enjeux mondiaux de l’heure ou bien, ils le savent mais créent les conditions pour pourrir l’Afrique après eux.
Les USA n’ont jamais été un partenaire fiable. Ils ont toujours dupé, fait croire au paradis aux peuples du monde, mais ce paradis s’est toujours transformé en enfer de l’enfer. Les pays Latino-Américains en sont bien avertis, l’Iraq, l’Afghanistan, le Pakistan, la Libye décapitée sous nos yeux, la Somalie d’aujourd’hui, la Syrie actuelle en sont des illustrations éloquentes.
Aucune sécurité extérieure (Africom, UE, OTAN, Casques bleus de l’ONU) n’a jamais été et ne sera jamais bénéfique pour l’Afrique sauf si ce sont les Africains eux-mêmes qui en conjuguent les efforts. La sécurité des USA pour l’Afrique c’est l’insécurité totale…
Il est clair que mon analyse ne changera jamais l’avis de ces chefs d’Etat avides de notoriété. Ils ont payé le prix du diamant pour se payer le luxe en se ruant à Washington poser auprès du noir-blanc africain de la Maison Blanche, qui est détesté lui-même aujourd’hui par les Noirs américains pour ses basses œuvres dans le monde notamment en Afrique et aux Etats-Unis même.
POUR MÉMOIRE : OBAMA, L’HAMEÇON DES PRÉDATEURS DE LA MAISON BLANCHE POUR LES AFRICAINS…
Lorsque cet homme arrive au pouvoir lors de son premier mandat, il montre immédiatement un désintérêt pour l’Afrique. Lors de sa première visite africaine qu’il effectue au Ghana en juillet 2009, il tance les chefs d’Etat africain et les traite de despotes, des infréquentables… puis lors de son discours à Accra il sermonne nos « despotes » africains tel et si bien que l’on n’aurait pu imaginer que ce serait encore lui, cinq ans après, qui les convoquera à la Maison Blanche.
Bref, il reviendrait aux leaders africains de soigner leurs images écornées. Ces néo-colonisateurs viennent toujours avec des idées sincères… vous croyez que vous êtes en train de consommer un bon poisson mais à votre grande surprise, vous trouvez une vipère vivante – somnolant dans votre plat prête à vous mordre l’œsophage.
Et pour paraphraser Louis Farrakhan, ami du Guide Kadhafi, « Ne pensez pas qu'ils n’ont pas l'intention de vous voler ce qui se trouve sous votre pied ! Leurs actions ne sont pas à votre avantage, mais à leur avantage (...). Leur jeu est toujours le même. Ils n'ont jamais changé, et ils ne changeront pas maintenant. Le serpent peut se débarrasser de la « vieille peau », mais la "nouvelle peau" qu’il revêt reste la même: il apparaît juste «frais» et «neuf». »