Paul Kagame, Président de l'UA qui emprisonne des femmes opposantes rwandaises !
Encore une hypocrisie de la communauté internationale: Paul Kagamé le despote et tyran de Kigali, pillard et receleur des ressources de la République démocratique du Congo, est présente comme un "Dirigeant visionnaire", sans doute pour des esprits tordus! Depuis le 28 janvier 2018, le dictateur Rwandais préside l'Union africaine, un syndicat des Chefs d'Etat.
Soutenu par des réseaux mafieux anglo-saxons, dans une hypocrisie internationale innommable, Paul Kagame, le tyran du Rwanda se sent pousser des ailes dans sa tyrannie. Le 3 mai prochain, c'est la journée internationale de la liberté de la presse. Nos pensées aux journalistes rwandais qui sont muselés et bâillonné par le régime de Kigali. Depuis janvier, Paul Kagamé, le dictateur de Kigali, pilleur et receleur des ressources de la République démocratique du Congo, préside l'Union africaine (UA). Personne n'a osé levé son petit doigt pour dénoncer que l'on donne la présidence de l'Union africain à un sulfureux seigneur de guerre qui a endeuillé les pays de grands-Lacs. Paul Kagame se pavane et cancane, il ne souhaite jamais un dialogue InterRwandais, hautement inclusif qui permettra aux gens libres d'esprit de dire la vérité sur le drame Rwandais condition préalable à réconciliation effective entre les rwandais.
Syndicat des chefs d'Etat africains: des mal-élus, tripatouilleurs de Constitutions, criminels, dictateurs, sanguinaires...se retrouvent tous à l'Union africain. Sur les 54 pays membres, ils sont des pays à compter sur les doigts qui œuvrent pour leurs peuples. L'arrivée de Paul Kagame à la tête de l'Union africaine est un discrédit pour cette institution qui au lieu de parler au nom des peuples africains, est devenu un un syndicat mafieux des chef d'Etat africains. Ils se tiennent tous par la barbichette.
Paul Kagamé qui est à la tête du Rwanda depuis le 17 avril 2000, après avoir été vice-président et ministre de la Défense de 1994 à 2000. Il a fait du génocide rwandais de 1994 son fonds de commerce. Pas d'opposition ni de liberté de presse au Rwanda. Belliciste et va-t-en guerre Paul Kagame, avec sa soldatesque, il pille les ressources de la République démocratique du Congo et endeuille le Congo, malgré ses crimes, Paul Kagame a été élu président de l'Union africaine depuis le 28 janvier 2018.
Tyran, Paul Kagamé, l'Hitler Africain terrorise tout le monde. Il fait peur à la communauté internationale. L'ogre de Kigali culpabilise le monde entier avec le génocide qui est devenu un fonds de commerce. Il s'avère une femme tient tête au dictateur. Elle est tutsie comme Paul Kagamé qui est aussi tutsi. Elle s'appelle: Diane Rwigara. Son père avait soutenu le FPR de Paul Kagamé...Le Rwanda, avec le dictateur, despote et autocrate Paul Kagamé, est un pays pillard et receleur des ressources de la République démocratique du Congo.
Après avoir fait taire les Hutus (80 %) et les Twa (2%), l'ogre de Kigali, 59 ans, s'en prend désormais aux tutsis, sa propre communauté. Après avoir fait du génocide des Tutsi un fonds de commerce pour culpabiliser le monde entier, Paul Kagamé, l'Hitler Africain a instauré dictature féroce: Au Rwanda, pas une tête ne doit dépasser sauf celle de l'autocrate...même les tutsis victimes du génocide sont aujourd'hui victime de Paul Kagame un dictateur criminel Tutsi qui a droit de vie et de mort sur tous les Rwandais.
On dit Diane Rwigara qu'elle est la personnalité rwandaise de l'année 2017. En effet, cela n’est pas le fait du hasard ou simple sympathie, mais parce qu’à 35 ans seulement, inconnue jusqu’alors sur la scène politique rwandaise, cette jeune fille a défié l’homme fort de Kigali et son parti FPR, au pouvoir depuis 1994. Diane Rwigara a mis sur la place publique, les erreurs du régime autocratique, sanguinaire et a déclaré qu’elle voulait se porter candidate à la Présidence de la République pour les corriger et redresser le pays. Diane Rwigara s’est montrée en opposante de taille, et pour preuve, même en prison, le tyran de Kigali ne cesse de parler d’elle.
La saga Diane Rwigara continue au Rwanda. L’ancienne aspirante au fauteuil présidentiel du pays, a de nouveau été placée en détention. Pour son parti et sa famille, il ne s’agit que d’une “persécution” de la part du pouvoir depuis qu’elle a tenté de briguer la présidentielle. Agée de 35 ans, Diane Shima Rwigara, la tutsie n’avait pas pu se présenter à l’élection, remportée avec 98,8 % des voix par Paul Kagamé. L’opposante avait été disqualifiée par la Commission électorale avant le scrutin pour avoir « falsifié des signatures ». Dans le prude Rwanda, la jeune femme avait aussi été malgré elle au cœur d’un scandale médiatique : deux jours après l’annonce de sa candidature , des photos de la jeune femme entièrement nue avaient circulé sur Internet. Diane Rwigara est la fille d'Assinapol Rwigara, un important entrepreneur rwandais qui avait fait fortune dans l'industrie et l'immobilier. Dans les années 1990, il avait largement financé le Front Patriotique Rwandais (FPR) de Paul Kagame avant que celui-ci n'accède au pouvoir.
Présidente des Forces démocratiques unifiées (FDU), formation d'opposition non reconnue par Kigali, Mme Ingabire, incarcérée depuis octobre 2010, est poursuivie pour complicité de terrorisme, propagation de l'idéologie du génocide, sectarisme et divisionnisme, atteinte à la sûreté intérieure de l'État, création d'un groupe armé avec l'intention de provoquer la guerre.
Au cours du procès, l'accusation a affirmé disposer, notamment, de preuves de transfert d'argent de Mme Ingabire au profit des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), un mouvement de rébellion hutu rwandais qui multiplie les exactions dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) et que Kigali qualifie de groupe «terroriste». Le parquet a aussi accusé l'opposante d'avoir rencontré à Kinshasa des «commandants de bataillon» des FDLR en vue de créer une force rebelle destinée à attaquer le pays.
Victoire Ingabire était rentrée au Rwanda début 2010, après 17 ans d'exil aux Pays-Bas. En août de la même année, elle avait cherché, en vain, à se présenter à l'élection présidentielle rwandaise. Paul Kagame, dont le Front patriotique rwandais (FPR, ex-rébellion) a stoppé le génocide en 1994 et mis en déroute les ex-Forces armées rwandaises, avait alors été réélu avec 93% des voix. Le jour même de son retour au Rwanda, l'opposante avait demandé, après avoir déposé des gerbes de fleurs à un mémorial du génocide à Kigali, que les auteurs de crimes commis contre les Hutu en 1994 soient également jugés.
Le régime rwandais accuse Mme Ingabire, une Hutu, d'avoir nié, par de tels propos, la réalité du génocide de 1994, au cours duquel au moins 800 000 personnes selon l'ONU, essentiellement des Tutsis, ont été tuées. Victoire Ingabire Umuhoza qui, du fond de sa cellule de prison où elle purge une lourde peine, a remporté une victoire judiciaire contre l’État rwandais. Selon la Cour Africaine des droits de l’homme et des peuples, dont le Rwanda était encore membre récemment, l’opposant et rwandaise n’a pas bénéficié d’un procès équitable. 15 ans de prison ferme à la suite d’une procédure injuste…
L'ancien guérillero, 59 ans, dirige le Rwanda d'une main de fer depuis 1994. Il a été autorisé à briguer un troisième mandat de sept ans à la faveur d'une réforme de la Constitution plébiscitée par référendum en décembre 2015 et qui lui permet potentiellement de diriger le Rwanda jusqu'en 2034. Paul Kagame, le tyran est salué par ses fanatiques et admirateurs comme un "dirigeant visionnaire". Pillard et receleur des ressources minières de la République démocratique du Congo, le dictateur du pays de mille collines est un despote inflexible. Il y a ceux qui louent le développement de son pays exsangue au sortir du génocide - environ 800.000 rwandais morts - grâce à des programmes axés sur les services, les nouvelles technologies et la modernisation de l'agriculture, et dont l'économie croît désormais de 7% par an en moyenne.
Au pays des mille collines, ceux qui ont été trop vocaux dans leurs critiques finissent bien souvent en prison ou en exil. Les opposants sont réduits au silence et ceux qui sont autorisés à participer aux élections ne servent que de façade démocratique. La communauté internationale est muette sur le Rwanda. Personne ne dénonce le pillage des ressources de la République démocratique du Congo, par Paul Kagamé et son régime dictatorial. Silence assourdissant sur la dictature et l'enfer à ciel ouvert dont sont victimes les Rwandais.
Source:blogs.mediapart.fr